Comme le montre notre croquis, nous avons
visé un point de route (les anglais disent waypoint) marqué par une
croix .
Ce point de route se situe aux
coordonnées : 16°11,60' N et 88°14,20' W.
De là, on peut rejoindre :
Sapodilla Cay Sud qui se trouve à 6,7
milles au cap 206° vrai,
Seal Cay qui se trouve à 6 milles dans le 255 ° vrai,
Ranguana Cay à 9,6 milles dans le Nord, cap au 30 ° vrai.
Ou bien rentrer dans le mouillage de Tom
Owens en faisant route au 100° vrai pendant un demi mille. Ce cap vise un
gros tas de coquilles de lambis posés au fil des ans par les pêcheurs
près de l'extrémité Nord du récif.
Arrondissez bien l'île W qui est
débordée vers l'Est par des têtes de corail isolées. Environ à mi
distance entre l'île W et le tas de lambis (ou conches) on peut mettre
cap vers le Sud. Faites attention dans la passe qui est réduite par un
groupe de caillasse en plein milieu. On peut passer des deux cotés mais
il est plus naturel de passer à son W.
Le mouillage le plus plaisant se trouve
au Sud de l'île W. (Ca tombe bien, la plage de cette île est plus
jolie que sur l'île Est). Cependant on peut mouiller un peu partout
dans cette zone d'à peu près un demi mille de large. On est
relativement bien protégé presque de tous cotés si on accepte de
bouger un peu. Par exemple de venir contre l'île Est par fort vent de
NE ...
|
Un
grain s'annonce.
Banik vient se mettre à l'abri en se rapprochant de l'île Est de
Tom Owens.
La petite plage au Sud de l'île n'est qu'à quelques brasses du
voilier.
Le plan d'eau est parfaitement calme |
Le fond de sable et d'herbier est de
bonne tenue. On trouve facilement ou poser son ancre dans 3 à 4 mètres
d'eau.
La barrière de corail est immédiatement
là, à portée d'annexe. Si le temps est calme il faut aller à
l'extérieur avec l'annexe pour pêcher à la traîne ou en apnée. Vous
ne reviendrez pas bredouille.
On doit pouvoir passer avec le voilier
par la coupure au Nord du récif et qu'on imagine en suivant la latitude
16°11,75' N. Nous ne l'avons pas pratiquée, donc pas pointée avec le
GPS. Nous pourrions nous y risquer pour éventuellement sortir de la
barrière par très beau temps, mais en aucun cas je n'entrerai par là
en atterrissant du large.
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